Finlande en mode Facebook

Nous avons aimé :

 

  • Entrer en Finlande sans avoir besoin de visa, ni de coup de tampon et cela sans attente avec le guichet dédié « passeports Union Européenne ».
  • Se sentir un peu de retour « à la maison ».
  • Transpirer en famille au sauna avant d’aller s’immerger dans un lac d’eau froide très vivifiante, comme de vrais Finlandais.
  • Déguster les délicieuses fraises des bois le long de notre chemin, juste après une belle averse.
  • Bivouaquer au bord de lacs splendides et profiter de lieux aménagés avec barbecue, ponton ou plage et parfois même une jolie petite barque !
  • Être accueillis par Kristiina (Warmshowers) dans son appartement à Helsinki et bénéficier de ses conseils pour notre parcours dans les pays baltes.
  • Circuler sur des kilomètres de pistes cyclables et pouvoir « rentrer » dans la capitale du pays sans souffrir sur des routes inadaptées au vélo.
  • Écouter le silence, ou juste le cancannement étonnant des canards locaux, et surtout ne plus entendre ni klaxons, ni aboiements à longueur de journée !
  • Ne plus voir de déchets, bouteilles et autres canettes au bord des routes et pédaler à travers une nature absolument magnifique et apparemment très bien respectée par ses habitants.
  • Profiter d’une journée de pause et se balader sur L’île de Suomenlinna, en face d’Helsinki, dans les murs de l’ancienne forteresse ou entre les canons qui pointent vers la mer.
  • Pouvoir enfin se faire comprendre en Anglais y compris avec les jeunes Finnois et découvrir que nos enfants sont de plus en plus à l’aise dans la langue du Brexit.
  • Et même…Faire ses courses dans des supermarchés bien approvisionnés, avec pleins de fruits, de légumes et du bon saumon … et de gros pots de glace !

 

Nous avons moins aimé:

 

  • La météo incertaine et les grosses douches tous les 30 km surtout au début de notre parcours.
  • Affronter le vent de face sur quasiment tout le trajet et découvrir que le Sud de la Finlande n’est pas vraiment plat.
  • Payer le camping pour planter la tente à notre arrivée dans le pays, parce que trempés et en milieu urbain, nous n’avions pas d’option facile pour du camping sauvage et n’étions pas encore bien rodés pour chercher un jardin chez l’habitant.
  • Cohabiter de nouveau avec nos amis moustiques et être obligés de s’asperger d’insecticide parce que décidément ils nous aiment beaucoup trop !